Le frère et notre couple

(sur Matthieu 2, 13-15.19-23)

Notre couple, en Christ, apprend à aimer, à essaimer la paix ;
il affronte des hommes adorateurs de l'Argent fait verbe ;
l'on ouvre le monde à l'humain, à offrir avec respect
au frère, ses besoins essentiels, ultimes, sa croissance en herbe.
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Notre couple est Hostie

(sur Matthieu 2, 13-15.19-23)

Mon couple vit l’Alliance, en Christ, accueille la Parole, est Hostie ;
il fait de l'Évangile sa Loi, en devient une page écrite ;
nous y apprenons l'amour, le pardon, en cœurs reconvertis,
et à offrir la joie du Salut, à ce monde hypocrite.

Ma vie t’ouvre à la Vie

(sur Matthieu 11, 2-11)

Mes gestes sont miraculeux, s’ils humanisent ta vie, ton âme ;
je ferme les yeux et vois des façons d’être intercesseur ;
je te conduis à Jésus, à devenir un précurseur ;
l'Esprit t'apprend à t’unifier, en Dieu ; ton Je s'enflamme.
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Le Christ, des miracles et moi

(sur Matthieu 11, 2-11)

J’accueille Jésus si je fuis le faux Dieu créé par mes tares ;
le Christ me sort des mirages, convertit mes attentes impies ;
souvent un signe d'Alliance dans ma vie est discret, se tapit ;
j'ai à vouloir l'animer et m’y éveiller sans retard !

Mon vœu, être apôtre

(sur Matthieu 3, 1-12)

En mes déserts de l’âme, j'ai toute confiance, Dieu y est Présence ;
je fuis mon ancienne façon d’être, me revêts de Son Amour ;
j'ai soif d'accomplir ma mission, de vivre avec bienfaisance,
pour aplanir les chemins du Christ, en toi, son troubadour.
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Le Christ et l'homme nouveau

(sur Matthieu 3, 1-12)

Le Christ m'offre la Cité des Cieux, en l'intime La déploie ;
Elle est en devenir, dépend de mon vœu d'une croissance
en sagesse, d'un désir de vaincre mes craintes d'aimer, une naissance ;
ma foi vit l'Humanité Nouvelle, à un frère La propose.

Marie, Joseph et moi

(sur Matthieu 24, 37-44)

Marie m’ouvre à entrer en mon Je, à le fertiliser ;
Joseph me conduit à des actes d'homme libre, au cœur d'apôtre ;
mon humanité d'être ainsi unifié, réalisé,
mène à un agir empli de Dieu, au service de l'autre.
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Le Paradis est Amour

(sur Matthieu 24, 37-44)

Dès mon trépas, je vais voir mes bienfaits, juger mes forfaits ;
l'Esprit me nettoiera l'âme ; en l'Amour des Cieux, je vivrai.
Toi mon frère aie confiance, quitte ta peur de mourir plein d’ivraie ;
Dieu t’absout déjà, des jours où tu l'oublies, de tes méfaits.

Le Salut, un frère et moi

(sur Luc 23, 35-43)

Il me faut, si je veux être sauvé, suivre le bon larron,
exprimer une parole confiante à mon Ami Jésus,
mais surtout imiter Son Amour de l'humain décousu,
penser d'abord au Salut de mon prochain, en vigneron.
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La Paix, un frère et moi

(sur Luc 23, 35-43)

En Jésus, je rencontre, écoute une brebis retrouvée,
elle m'interpelle ; j'oublie mes préjugés, vis redressé ;
j'annonce la Paix de Dieu ; notre dialogue nous fait progresser ;
j'offre mon Salut à ce frère ; il désir S’y abreuver.

Dieu n'est qu'Amour

(sur Luc 21, 5-19)

Dieu avec moi subit une maladie, une calamité !
Il m’aide à défier ces temps de mort, à y croître en amour ;
je bâtis un monde plus humain, veux en être un troubadour ;
j'attends joyeux, confiant, le trépas de mes infirmités.
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La Cité impie et toi

(sur Luc 21, 5-19)

Ô mon frère les perfides prophètes utilisent tes doutes, tes peurs
et te proposent de vains miracles, des paradis trompeurs.
Dégage-toi de l'égoïsme ; à tes faux bonheurs, dis adieu,
et offre un sens à la vie, réponds à l'appel de Dieu.

La Paix, le monde et moi

(sur Luc 20, 27-38)

Ma foi reçue, cultivée et mûrie en mon hier,
prend racine en la fraternité, et y communie ;
elle est Paix, intime essor de peuples, et d'humains démunis ;
mon Esperance vit une croissance, grâce à mes œuvres singulières.
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La terre, les Cieux et mon Je

(sur Luc 20, 27-38)

J’adore cette vie, elle me conduit à la Prochaine, m'en remplit ;
mon Espérance rend Vivant, m'affranchit de mes possessions ;
je laisse se réaliser en mon histoire, des conversions ;
elles m’ouvrent à vouloir les Cieux, terre nouvelle du Je accompli.

Temps impie et temps de foi

(sur Luc 19, 1-10)

Avant ma foi, j'étais seul, en désespérance, en survie,
je cherchais une puissance apte à me défendre des malfaisances.
Descendu de l’égo, j'ai trouvé en l’Hostie, une Présence ;
Jésus est là ; Il est l'hôte de mon cœur, l'Amour dans ma vie.
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Le Christ et mon baptême

(sur Luc 19,1-10)

J’étais un Zachée, jusqu'au matin où Jésus, en ma vie,
a pris demeure, m'a offert d'être Son frère, une faim assouvie ;
mon baptême m'anime ; je fonde des jours fraternels, m’y blottis ;
ma foi prend force, devient adulte ; j’entre en Christ, reçois l’Hostie.

Dieu, un frère et le Je

(sur Luc 18, 9-14)

Je me déleste, goûte les Saveurs de Dieu, d'un Je partisan ;
mon humanité ouvre à Le prier, reçoit Sa Présence ;
Il connaît, m'aide à voir mes richesses et mes insuffisances ;
mon vœu est de poser sur chaque frère, Son Regard Bienfaisant.
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La prière ouvre l'intime

(sur Luc 18, 9-14)

Je me comporte en Pharisien, si j'ai un Je orgueilleux,
imbu du mérite d'avoir choisi un agir fraternel ;
ma prière, mes œuvres sont Publicaines, en étant éternelles ;
elle me taille, m’ajuste au Christ, à Son Amour, au merveilleux.

Aimer Dieu et l'homme

(sur Luc 18, 1-8)

En amoureux de Dieu, je L'enlace en mes jours affrontés,
Lui exprime mon vœu d'une vie d’oraison, ferme, inspirée ;
la fleur des prières, c'est mon souhait de toujours Le désirer ;
j’y quitte mon vouloir, accueille, accomplis Sa Volonté.
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Dieu, mes prières et l'amour

(sur Luc 18, 1-8)

Mes douleurs éprouvaient Dieu ; Il aime d'un cœur éperdu ;
Il attendait, frappait à ma porte ; je l'ai ouverte, un jour ;
mes prières étaient hésitantes ; je doutais d'être entendu ;
j'ai appris l’attente ; Il exauce toujours les vœux d'amour.

Être un Évangile

(sur Luc 17, 11-19)

Je prie Jésus-Christ, souhaite Le suivre en mes vouloirs bien fragiles ;
ma façon d'agir envers un frère, dévoile mon Évangile ;
tu attends de l'aide ; je quitte mon ouvrage, je suis attentif ;
ton bien-être m'importe, je t'offre mon amour, un vivre inventif.
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Jésus, la Cité et moi

(sur Luc 17, 11-19)

Un beau matin, adulte, j'ai vécu mon baptême, suis passé
d'un cœur égoïste, à des gestes de charité, amassés ;
en pays libre, je parie sur l'amour, mon actualité ;
mes actes humains, prennent en Jésus-Christ, force et réalité.

Dieu, Marie et moi

(sur Luc 17, 5-10)

Ô Marie, ta foi me séduit ; je veux devenir chrétien ;
dans l'aujourd'hui, un témoin du Souffle de Dieu, mon soutien ;
j'essaye d'accomplir la part d'amour, à ma vie, dévolue ;
un frère attend de moi d'être conduit au Christ, au Salut.
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L'amour est mon salaire

(sur Luc 17, 5-10)

Ma récompense d'apôtre, je l'ai déjà reçu : Dieu m’aime ;
les jours ou je sors de l’égo, réponds à Son Appel,
je ressens un plaisir, une fierté à être utile, je sème,
suis un humble serviteur, à l'image du Christ ; Il m'interpelle.

Écouter le frère et l’aimer

(sur Luc 16, 19-31)

Il m'arrive d'être insensible aux malheurs d'un déshérité,
de fonder mon refus de l'aider à bâtir un demain ;
je choisis de sortir de l’ego, d’aimer Dieu, et l'humain ;
j’entre en l'amour ; mon Ciel sur terre, est fait d'actes de charité !
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L'argent est nihiliste ou fraternel

(sur Luc 16, 19-31)

J’implore les riches soumis à l'argent sourd-muet, totalitaire,
de fuir la finance nihiliste ; ils ruinent l'humain et la terre.
Ceux convertis, ils changent, écoutent le pauvre, égrènent leur rosaire,
et prônent une économie fraternelle ; elle tue la misère.

Moi, le monde et l'argent

(sur Luc 16, 1-13)

Notre charité brave l'économie sauvage, dévouée aux riches ;
je refuse d'être esclave des avoirs ; seul l'amour m’en délivre ;
j'apprends à devenir cet économe, un stratège du Livre,
afin de mettre l'argent au service de Dieu, du frère en friche.
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Dieu, l'argent et moi

(sur Luc 16, 1-13)

Parfois, je parais chrétien au lieu de l'être, cela m’effraie ;
je refuse d'adopter des pensées impies par intérêt ;
je fuis un agir fourbe, adorer Dieu et servir l'argent.
Seuls mes actes d'amour amassés m’ouvrent au bonheur exigeant.

Dieu, le monde et ma vie

(sur Luc 15, 1-32)

Longtemps, je me suis éloigné du Père, de Son Secours ;
je pensais trouver mon bonheur entre autres dans les interdits.
La joie échappe au plaisir de ce monde, naît en l'amour ;
un jour, j'ai su ; Il m'a étreint ; ma vie L'écoute ; j’y grandis.
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Dieu et mon histoire

(sur Luc 15, 1-32)

Dieu a pleuré ; je niais qu’Il avait pour moi un Dessein ;
j'ai laissé l'homme ancien, un passé blessé, ma potence.
Christ m’aide à être près du Père, à vivre le sens de l'existence ;
même les jours où je faute, j'ai un futur : devenir un saint.

Notre couple grandit

(sur Luc 14,25-33)

Notre couple est partage arraché aux habitudes d'un hier ;
il prie, accomplit nos Je, s'éloigne d'un monde nous isolant,
et porte sa croix, avance, assume ses manques, cultive ses talents ;
l'on témoigne d'une richesse du nous, puiser en Christ, notre tanière.
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Jésus, un frère et mon agir

(sur Luc 14, 25-33)

Jésus-Christ m’a saisi, devient ma route, même si ça me coûte ;
plus j'apprends à m'engager en Son Amour, plus je L'écoute ;
Il m'aide à renoncer à mes défauts, à des possessions,
pour accomplir envers autrui, ma mission sans concession.

Le Vivant est joie

(sur Luc 14, 1a.7-14)

L’orgueil, l'argent pour régner rabaisse ; ta vie est éventrée ;
L’humilité, le logos de l’être, m’ouvre à me décentrer,
à vivre en Vérité, à remonter à sa source, l'Amour ;
le fait de donner à un frère, me rend heureux en retour.
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L'humilité ouvre à la charité

(sur Luc 14, 1a.7-14)

Être humble, humain, c'est accepter de Dieu, mon amour gracieux ;
cette Vérité m’ouvre à accomplir ma pleine humanité,
grandir, malgré des barrières et frontières, en fraternité ;
j'aime mes talents reçus, cultivés, être glorieux, audacieux.

Dépasser mes enfermements

(sur Luc 13, 22-30)

En mes prières, j’accueille la Grâce, mon Salut dès aujourd'hui ;
un jour, j'ai répondu à l'Appel du Christ ; Il me conduit ;
peu à peu, je quitte mes prisons, t’offre ô mon frère, mon amour ;
demain, déjà, je vais vivre sur terre, mon Ciel et ses atours.
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Ma foi est religion de l'humain

(sur Luc 13, 22-30)

Je sais, je suis en chemin, et bien des hommes méconnaissent Dieu ;
un jour, j'ai répondu à Son Appel d'être amour radieux ;
à mon âme, à ma vie s'offre une façon d'accueillir l'humain ;
l’Hostie m’invite au Festin ; aux cœurs malsains, je tends la main.

La vérité et la famille

(sur Luc 12, 49-53)

La vérité, pour un temps, peut faire bien des querelles
entre nous et l'enfant, au sein de notre couple, charnelles passerelles ;
elle est un beau geste d'amour, de correction fraternelle ;
elle veut que l'autre se libère d'un défaut, aille vers l'Eternel.

Le Feu de Son Amour

(sur Luc 12, 49-53)

Le jour où j'ai accueilli le Feu d'Amour de Jésus-Christ,
j'ai refusé avec douceur, fermeté, d'une âme ravie,
les choix d'un monde de l’ego, la mise en croix de la vraie Vie ;
Dieu m'a ouvert à Sa charité ; j'en suis un manuscrit.

Dieu, l'homme et l’amour

(sur Luc 12, 32-48)

Dieu, Présence Active, à travers des vivants, Se réalise ;
Il a confiance ; ma fidélité, foi mûrie en Eglise,
accouche, dès aujourd'hui, du Monde nouveau, en est un labour ;
des frères, demain, sur terre, bâtiront la Cité de l'Amour.

La joie d'être charité

(sur Luc 12, 32-48)

Ma foi en Dieu, c'est l'intime conviction du Salut offert ;
je vis le temps où servir, fait naître en mes jours, le bonheur ;
partager avec des frères, les mettre debout, leur rendre l'honneur,
c’est donner de mes bénéfices retirés d'humaines affaires.

Les avoirs, un outil

(sur Luc 12, 13-21)

Jésus-Christ m'invite à accueillir, à entendre l'indigent ;
mon superflu, c’est son nécessaire ; il l’aide à être debout.
Dieu peut m'en confier davantage, devenir un dirigeant,
pouvoir sauver moult pauvres, les dresser, en l'Amour, vent debout.

L'Amour est mon Réel

(sur Luc 12, 13-21)

Il y a un éclat de Dieu en chaque humain, en sa boue ;
mes jours reçoivent l'Eternité, ont soif et faim du Salut ;
je sors du virtuel des avoirs, veux entrer dans l'Absolu ;
derrière les apparences, je vois ; ma gloire, c'est un frère debout.

Dieu, mes prières et ma patience

(sur Luc 11, 1-13)

Dieu me précède, veut œuvrer, attend mon souhait d’une vie vertueuse ;
mes prières emplies d’humanité, sont tenaces et confiantes ;
Ses Réponses d’Amour me délivrent des souffrances, sont sanctifiantes ;
chaque jour vécu, reçu, est béni ; ma patience est fructueuse.

La prière est dialogue et Vie

(sur Luc 11, 1-13)

En mes prières, je reçois l’Esprit, dialogue avec Dieu ;
ma foi s’accroît, s’éclaire ; j’accueille la force d’affronter la vie.
Prier, c’est exister ; j’apprends à m’aimer, à être radieux ;
croire en l’humain m’ouvre à un lendemain, avec envie.

Ecouter Dieu, être amour

(sur Luc 10, 38-42)

Dieu est mon Ami ; en mon âme, Il me parle en silence ;
plus j’arrive à faire taire les bruits de l’être, plus je L’entends ;
j’y puise l’énergie d’un agir envers un frère ; il m’attend ;
mon visage reflète une vie en prière, sort d’une somnolence.

Christ et mon agir

(sur Luc 10, 38-42)

En Christ, j’écoute la Parole, Elle précède mes œuvres, mon discours ;
mes jours, instants où s’ajustent ma prière et mes actes d’amour.
Ce bonheur emporte les tourments de la vie, est assistance,
paix intime, assurance de Sa Présence en toute circonstance.

Christ, un frère et moi

(sur Luc 10, 25-37)

Ô Jésus-Christ, sauve-moi d’un cœur hypocrite aux beaux discours ;
il se borne à pleurer sur les malheurs d’un frère, ses hivers ;
Tu m’apprends à panser ses plaies, à l’aider à être amour ;
en et grâce à Toi, je vis avec lui, ses joies, ses calvaires.

Apprendre à être humain

(sur Luc 10, 25-37)

Je me dégage d’un ego vaniteux ; il m’éloigne des autres ;
et m’engage en une charité envers l’homme à redresser ;
la joie de donner, d’aimer, d’un cœur désintéressé,
me rend très humain, un humble visage du Christ, son apôtre.

Le Christ, l’impie et moi

(sur Luc 10, 1-12.17-20)

J’annonce à l’impie, en messager de Dieu, le Verbe Aimer,
apprends la Patience, attends la moisson, emplie de joie ;
l’Eglise en un frère, verra le jour, va l’ouvrir à la foi,
à une Présence du Christ, en ses actes et vie essaimés.

Dieu, le Monde et moi

(sur Luc 10, 1-12.17-20)

En réponse à ma prière, la foi imprègne mon existence;
mes talents œuvrent à diffuser la charité de Dieu ;
des frères appelés, refusent, se défendent, dressent ma potence ;
mon Je en Jésus, reçoit le bonheur d’être amour radieux.

Dieu, mon devenir

(sur Luc 9, 51-62)

J’ai cessé, un beau matin, d'être mort au Christ, de m'enterrer ;
je place avant les liens du sang, la Parole, mon avenir.
Mon père, par amour, m'a laissé partir et devenir ;
comme fils, je suis pleinement, en Dieu, un Je déterré.

Me désidentifier, est Vie

(sur Luc 9, 51-62)

Les jours où je sors de mes prisons, je m'attache au Christ ;
libéré des avoirs illusoires, je regarde vers demain ;
quitter mes liens fusionnels, c'est vivre l'instant, en choriste,
bâtir l'avenir, et nourrir le frère, son intime chemin.

L'amour est masculin et féminin

(sur Luc 9, 18-24)

Jésus est homme en Sa Mission et femme en Son Sacrifice.
Je suis cet homme, ce rocher où s'accroche le présent, l'humain,
et cette femme, ce fleuve sur lequel je navigue vers un demain,
des jours où éclot le don de soi, l'amour en édifice.

Je porte ma croix

(sur Luc 9, 18-24)

Ma croix, mon existence me l'impose ; je la mets sur l'épaule,
avance avec des chutes, vers le bel amour, sors de mes geôles ;
en homme libre, je prie le Christ d'être là et de me protéger ;
en Ami, Il partage mon fardeau, me le rend plus léger.

L'amour et mes manques

(sur Luc 7, 36-8, 3)

Je crée mon enfer, les jours où je m'enferme en mes méfaits,
suis obsédé par celui d'un autre, au parfum odieux ;
j'accepte mes erreurs, accueille, en Christ, le Je t’aime de Dieu ;
Il me libère de ma faute, m’offre une existence de bienfaits.

La grâce et moi

(sur Luc 7, 36-8, 3)

La Main tendue de Dieu, je L’ai saisie avec conviction ;
la foi m’ouvre un demain, j'y suis pour l'homme, bénédiction ;
parfois à la messe, s'écoulent des larmes de joie, de gratitude ;
elles remercient Dieu, d'être charité en mes attitudes.

Dieu est tendresse

(sur Luc 7, 11-17)

Mon chagrin est né d'être cloîtré en mes chaos, un cri ;
le miracle, un jour, fut ; j'ai reçu d'accueillir Jésus-Christ ;
Son Amour au cœur de l'intime, m’aide à sortir de l’ego,
à entrer en une tendresse envers l'homme, l'alter ego.

Relève-toi !

(sur Luc 7, 11-17)

Les jours où je souffre, Jésus-Christ me console, m'encourage ;
en ces tristes instants, je L'écoute, fais front ; Il me conduit ;
grâce à Son Amour, je ressuscite des morts, dès aujourd'hui,
et tout m’est rendu possible ; à moi d’œuvrer au labourage.

Dire et faire

(sur Luc 9, 11b-17)

Accueillir mon prochain, c'est dire, lui parler de Jésus-Christ,
et lui clamer l’Amour, c'est agir, le guérir de ses cris ;
les jours où dialoguer et œuvrer sont coordonnées,
je suis, invite l'autre, son humanité à se donner.

Offrir pains et poissons

(sur Luc 9, 11b-17)

L’Esprit me façonne ; je laisse le Christ habiter en mon cœur ;
mon devoir envers Dieu, remplir le ventre des affamés,
les ouvrir à recevoir l'Amour, en artiste, en vainqueur ;
Jésus les interpelle en leur quotidien malfamé.

La foi est amour et raison

(sur Jean 16, 12-15)

Un jour, j'ai crié mon désespoir, ai reçu la foi ;
ma raison prie, perçoit la Vérité de Dieu, la savoure ;
j'apprends à être, et saisis l'humanité d'un frère, parfois ;
ma fidélité au Christ, une dévotion à l'amour.

La Tradition, le présent et demain

(sur Jean 16, 12-15)

En héritier des Anciens, je t'offre du Christ, ma perception ;
des aspects de Sa Transmission échappent à ma réception ;
à ton tour, mon enfant, tu vas poursuivre mon œuvre d'ascète,
et appréhender, comprendre de la Parole, d'autres facettes.

L'Esprit et ma croissance

(sur Jean 14, 15-16. 23b-26)

L’Esprit me conduit à me pardonner, à m’accueillir ;
Il mène mon âme au Cœur de Dieu, l’ouvre à un Je à cueillir ;
je me décentre, m’ajuste au Christ, apprends à m'essaimer ;
l'Esprit m'emmène à être Hostie, un poète du Verbe Aimer.

L'Esprit et mon humanité

(sur Jean 14, 15-16. 23b-26)

Je vois la trace des visites du Saint-Esprit, Sa Présence
en mon vécu, si j'y suis délivrance et bienfaisance ;
Il me permet d'aller, d'être un chemin créatif, joyeux,
et de rendre grâce à Dieu, d'un cœur émerveillé, soyeux.

L'amour, l'homme et moi

(sur Jean 17, 20-26)

La charité mène à l'unité ; elle est en mon échange
avec un frère, en l'accueil de sa vie, de son essentiel ;
un jour, l'Humanité deviendra vivante ; l'homme, en Christ, change ;
en Eglise, je bâtis de l'amour, un pont entre terre et Ciel.

L'unité est amour

(sur Jean 17, 20-26)

Ô Jésus, je cherche mon unité ; pour me le permettre,
Tu m'offres de partager le Flux d'Amour entre Toi et notre Père ;
l'Esprit-Saint m'assiste, m’ajuste à la Parole à transmettre,
les jours où un lien trinitaire, entre un frère et moi, opère.

Dieu, Sa Paix, et moi

(sur Jean 14, 23-29)

Dieu est Paix, Il opère à travers Elle, en mon cœur fiévreux ;
Christ réveille, stimule mon être, ma vie s'en trouve fortifiée,
la paix y pousse, même en mes souffrances ou fautes identifiées ;
je m’ouvre à une joie entière, éprouve un amour bienheureux.

Le Christ et ma charité

(sur Jean 14, 23-29)

Ô Père, Source de ma foi, mon Frère Jésus m'a désaltéré ;
Il m’ouvre à un intime contact avec Lui, dès aujourd'hui ;
au fil de mes conversions, des renaissances, Il me conduit
à croître en amour, à être un héros du Verbe Espérer.

Ma nature, être amour

(sur Jean 13, 31-33a.34-35)

Mon âme est faite pour s'offrir, s'épanouir en des heures ferventes ;
Dieu rend possible cet impossible, devenir Hostie vivante ;
en Jésus-Christ, je m’ouvre à vivre ce don, dans la vérité,
à oser aimer l'autre pour lui-même, avec sincérité.

Jésus, Sa Paix, et moi

(sur Jean 13, 31-33a.34-35)

Le Christ m’invite à vivre et étendre dans le monde Sa Paix ;
je La laisse en mon âme, parvenir à mûrir, m’en repais ;
je vis déjà une profonde, une indicible sérénité ;
j'essaie de créer la vie, du sens en ton humanité.

Le Christ est berger

(sur Jean 10, 27-30)

En tant que brebis, j'entends la Voix du Christ ; Elle me conduit ;
Il tisse en mon être un lien unique, en Son Cœur m'introduit ;
je passe de mes manques, une mort, à ma pleine humanité,
vis, déjà au quotidien, en Dieu, mon Eternité.

Ma relation à Dieu

(sur Jean 10, 27-30)

Agir, partir sur une route inconnue, de façon confiante,
c'est vivre en amitié avec Dieu, des heures sanctifiantes ;
être soi, fuir un amour égoïste, ou défiguré,
c'est accueillir mon je singulier, le voir transfiguré.

Christ, Sa Miséricorde, et moi

(sur Jean 21, 1-19)

L’Amour du Ressuscité m’a sorti des eaux du non-être ;
Il porte avec moi mes peines, pardonne mes offenses faites à l’homme ;
Il m'invite à Le suivre, à aimer davantage, à renaître ;
une étincelle de charité m'enflamme ; mon agir me nomme.

Le Christ, Son Œuvre, et moi

(sur Jean 21, 1-19)

Jésus-Christ m’ouvre à Dieu, en l'intime accomplis des merveilles ;
Il escorte mes conversions ; ma vie embrasse les Cieux, les âmes ;
Son Esprit me soutient dans mon choix d'être une foi en éveil ;
je m'associe à Son Œuvre d'Amour, en fait mon oriflamme.

Plaies et cicatrices

(sur Jean 20, 19-31)

Je vois, ô Jésus, en Tes plaies et cicatrices, les miennes ;
si mes douleurs me déplantent de l'amour, je m'expatrie ;
dans les Sacrements, je touche Ton Œuvre d'homme, sali, meurtri ;
Elle me donne des résurrections et une ardeur chrétienne.

Le Christ, l'Hostie, et moi

(sur Jean 20, 19-31)

Un jour, avec les yeux de l'âme, je me suis ouvert au Christ ;
l'espérance imprègne ma vie ; elle est pour l'homme, un secours ;
dans l'Hostie, je fortifie talents et foi, les écrits ;
en étant ce que je suis en germe, j'apporte au monde l'amour.

L'Eden Céleste

(sur Jean 20, 1-9)

Mon être mortel, se verra transfiguré, dès demain ;
l'Amour des Cieux le rendra éternel ; il sera prière.
En l’Intime de Dieu, j'accomplirai mon être, ma vie d'hier,
devenir Bienveillance, d'un Ailleurs réconforter l'humain.

Ma tombe est vide

(sur Jean 20, 1-9)

Un jour, je suis sorti des tombes vides de l’adversité ;
j'ai vécu une urgence, courir vers le Christ, Son Affection ;
mon être L’a reçu, a accueilli la félicité ;
j'ai ressenti Son Amour, ai cru en la Résurrection.

Mon fardeau et la Vie

(sur Luc 22, 14-23, 56)

Je fuis le plaisir de souffrir, offre mes plaies et bosses aux Cieux ;
Dieu rencontre mon cœur et mon corps brisés, blessés, disgracieux ;
Il me permet de porter mon fardeau de mort, de malheur,
et de m'en défaire, d'accueillir la Vie, l'amour cajoleur.

Christ et ma conversion

(sur Luc 22, 14-23,56)

Le Christ en silence, attendait de s’offrir, de proposer ;
j'ai reçu Son Amour, accueilli mon baptême ; l’ai osé ;
Il m'a fait naître à la Vie, m'a accouché d'un Je nouveau ;
j'avance, j'existe, quand en mon présent la charité prévaut.

Don et sagesse

(sur Jean 8, 1-11)

La sagesse, don de Dieu, libère ma raison, est bien précieux ;
elle m’ouvre à savourer les bienfaits d'un amour ambitieux,
à juger la conduite du prochain, à lui tendre mes deux mains ;
je vois en nos vies, ce qui conduit à aimer, sert l'humain.

Dieu, l'offenseur, et moi

(sur Jean 8, 1-11)

Ô Christ offre-moi Ta Sagesse, une écoute fraternelle ;
elle refuse d'enfermer un frère en son méfait, sa fange,
elle dénoue cette offense ; d’une voix douce et solennelle,
je souhaite sa conversion ; Dieu pardonne afin qu'il change.

Dieu et mes talents

(sur Luc 15, 1-3.11-32)

Mon seul devoir filial envers Dieu, être amour éperdu,
vivre une charité pour moi et mes proches, nous dégauchir ;
Il m'a remis, comme à toi, des talents ; j'ai à m’enrichir,
à entasser les avoirs d'hommes entendus, défendus.

Le converti et moi

(sur Luc 15, 1-3. 11-32)

Sortir de Dieu tout en y restant, c'est vivre une confusion ;
en dévot, j’entre en l'intime, y arrache des travers perçus ;
ceux d'être jaloux de certains frères, et de nier leur conversions ;
je me réjouis du Pardon de Dieu, de tout Salut reçu.

Mon passé, présent et futur

(sur Luc 13, 1-9)

Un jour, en Dieu, un début ; peu à peu, j'ai produit du fruit ;
le passé meurt, le présent est ouvert, j'en ai l'usufruit ;
ma vie d'amour, de patience, s'élève en prière, un appel ;
mon devenir, être saint, au Ciel ou dès ce monde, sa chapelle.

Ma triple conversion

(sur Luc 13, 1-9)

Peu à peu, j'abandonne le passé, un Dieu à mon image ;
Il dévie mes yeux de Son Visage ; m’aide à y parvenir ;
je les tourne vers l'homme, l’ouvre à l'amour, à son essaimage ;
vivre l'aujourd'hui, c'est être empli d'un aimable avenir.

Être vêtu de gloire

(sur Luc 9, 28b-36)

Être vêtu, en mes gestes et paroles, de la gloire de Dieu,
c'est devenir un pâle reflet audacieux de Sa Présence ;
Son Souffle m’ouvre à bâtir l'aujourd'hui, un bonheur radieux ;
Il m'aide à pétrir mon amour ; il éclot en bienfaisance.

Pour échapper au sommeil

(sur Luc 9, 28b-36)

Pour rester éveillé au long des jours, auprès de Jésus,
échapper à un sommeil de l’âme, être amour recousu,
j’ai à demeurer présent, fidèle à Sa Charité,
aider les frères à trouver en Dieu, leur intégrité.

Jésus, Arbre de Vie

(sur Luc 4, 1-13)

Dans le désert de mes peurs, pousse un Arbre, même à mon insu ;
Il est sève de Vie, et d'Espérance, c'est mon Frère Jésus ;
ses racines plongent en mes infirmités de sauvageons ;
dès mon Oui à l'Amour, Il m'irrigue ; j’en deviens un bourgeon.

Le monde et ses tentations

(sur Luc 4, 1-13)

Dans mon désert, le plaisir des seuls biens matériels, m’attire ;
atteindre un pouvoir, des honneurs grâce à mes talents, me tente ;
j'éprouve Dieu, si je désire qu'Il exauce une envie latente ;
seul l'Esprit m'offre la gloire, les avoirs de l'amour à bâtir.

Ma pêche au large

(sur Luc 5, 1-11)

L’agir, un lieu où Dieu m'aide à sortir du port de l’ego ;
ma vie jette l'ancre en terre promise, monte dans la barque de l'église,
va vers le large, un horizon ouvert à l'alter ego ;
je pêche en l'eau profonde d'un frère, son âme, et la fertilise.

Dieu, et ma pêche d'homme

(sur Luc 5, 1-11)

Dieu m’offre Son Pardon pour mon manque d'amour, mes perversions ;
si je désire recevoir Son Souffle, mon espérance prospère ;
Dieu est là, Sa Charité guérit ma peur, mes aversions ;
je vogue vers le large ; une pêche d'homme suivra, à l'heure du Père.

Ouvrir à de saines pensées

(sur Luc 4, 21-30)

Ô toi mon ami, j'entre en prière, puis t’exprime mes critiques ;
dans la charité, j’ose t’aimer, être une âme authentique ;
j'essaie d'ouvrir ton esprit virginal ; il te constitue ;
j'ai un vœu, te voir progresser dans la foi, en vertu.

Le passé et le présent

(sur Luc 4, 21-30)

J’ai su dresser des frontières entre un présent et le passé ;
l'avant était dépassé, l'aujourd'hui porteur de progrès ;
les jeunes ouvrent à demain, et les vieux emplis d'hier, aux regrets ;
j'apprends à restituer au présent les richesses du passé.

L'Esprit, mon frère, et ma singularité

(sur Luc 1, 1-4 ; 4, 14-21)

Mon être, en ses différences, s’ouvre au Souffle du Saint-Esprit ;
il écrit, les jours où mon cœur est un agir épris,
un cinquième Évangile, un soleil, dans la nuit, qui luit ;
j'offre au frère, un pâle reflet de l'Amour de Dieu pour lui.

Christ, mes talents, et l'amour

(sur Luc 1, 1-4 ; 4, 14-21)

Je suis une âme pauvre ; Jésus m’affranchit et m'apprend ;
je m'ouvre à mes talents, afin d'accueillir, de me donner.
Tous les matins, j'entends Sa Parole ; l'Esprit-Saint me prend ;
je vis une journée décloisonnée, un cœur de nouveau-né !

Dieu, l'homme, et le festin

(sur Jean 2, 1-11)

Comme Marie, signe d'obéissance aux desseins de Dieu,
je me laisse guider par Lui, au-delà de toute espérance ;
mes jours en Christ, offrent aux Cieux d'être fraternel, radieux ;
ils prennent part à la fête entre mon Père et l'homme, ces carences.

L'amour est labour

(sur jean 2, 1-11)

Le vin me manque, je suis en panne de courage, d'amour radieux ;
cette humaine épreuve, un espace rempli du silence de Dieu ;
j'écoute, accueille Sa Présence, discrète Parole à savourer ;
Elle m’ouvre à boire à la coupe du bonheur, et à labourer.

Dieu, mes talents, et la Vérité

(sur Luc 3,15-16. 21-22)

Me connaître, la première étape vers un cœur saint, dès ce monde ;
j'élimine, grâce au Christ, de mes jours, orgueil et mensonge ;
je sais, mes talents me viennent de Dieu, servent l'homme, l’émondent ;
la sainteté est humilité, Vérité hors des songes.

La foi est paix

(sur Luc 3, 15-16.21-22)

Je veux suivre Jésus, devenir un artisan de paix ;
je souhaite en mes épreuves, d'une vie ordinaire, rester sûr
dans la Patience de l'Esprit, même si ma foi s'estompait ;
je m'ouvre à voir les cœurs, à leurs offrir l'amour ; il rassure.

Dieu, mon humanité et l'humain

(sur Matthieu 2, 1-12)

Dieu est là, en mon cœur, dans mes rencontres dînatoires ;
Il est ma soif d'humanité, d'embellir nos demains ;
l'Epiphanie m'emplit, me mène vers d'autres terres, d'autres histoires ;
Elle est ma présence au devenir du monde, et de l'humain.

L'amour, le Salut du monde

(sur Matthieu 2, 1-12)

Je veux rendre présent l'amour matériel et spirituel,
me délecter d’œuvrer à secourir, à convertir l'autre,
et être une Hostie offerte, de la Parole un pâle apôtre ;
avec toi, j'humanise, un peu, le monde actuel, ses rituels.